La HomePod d’Apple veut s’illustrer dans le domaine des enceintes animées intelligentes où le Google Home fait office de leader. Nous l’avons testé avant son arrivée en France au printemps et voici ce qu’il faut retenir.
Un design minimaliste
La HomePod possède un revêtement blanc ou gris sidéral, elle pèse 2,5 kg pour une hauteur de 170 mm et une largeur de 140 mm. L’appareil peut se brancher au secteur grâce à un cordon. Il peut aussi se poser partout dans la maison.
L’écran tactile situé au sommet de la HomePod offre une surface qui affiche les sigles « + » et « – » servant à régler le volume. On pourra aussi activer Siri grâce à un appui prolongé. Il sera cependant impossible de couper Siri comme c’est le cas chez Google.
Une qualité audio exceptionnelle et de nombreuses fonctionnalités
Cette enceinte connectée permet d’écouter un son de qualité supérieure, peu importe le type de musique. L’effet stéréo est totalement absent. La scène sonore emplit cependant la pièce sans se distordre quand le volume augmente.
La HomePod est plus polyvalente que la Sonos One et la Google Home Max qui ne sont que des enceintes directionnelles. L’enceinte intègre de nombreuses fonctionnalités : alarme pour le réveil, minuterie pour faire la cuisine, rappels et elle sert aussi de domotique pour la maison.
Une installation rapide
La configuration de la HomePod se fait en quelques secondes. En rapprochant son appareil iOS à proximité de l’enceinte, on déclenche l’installation et on suit les indications. Il faut impérativement posséder iOS parce que les applications HomePod et Home d’Apple sont indisponibles sur Android.
Une vidéo test complet de l’enceinte HomePod d’Apple :
En plus, les commandes vocales ne sont compatibles qu’avec les services audio d’Apple. L’association de la stéréo au mode multiroom n’est pas encore disponible. Enfin, Siri et HomeKit sont moins aboutis et compatibles que l’Assistant Google. C’est vendu sur le site officiel d’Apple à 349 dollars, un prix bien plus élevé que Google Home.