L’application mobile de messagerie WhatsApp mise en cause dans les divorces italiens

Il semblerait que la technologie puisse rapprocher les gens… tout comme les déchirer. L’Association Italienne des Avocats Matrimoniaux prétend que les discussions WhatsApp sont citées comme preuves dans 40% des cas de divorces italiens où l’adultère est impliqué, rapporte le Times. Selon les témoignages, beaucoup de ces conjoints peu fidèles ne peuvent s’empêcher d’envoyer un message à leurs amants, que ce soit pour murmurer des mots doux ou envoyer des photos sexy.

Dans certains cas, les avocats indiquent qu’ils ont vu des gens « jongler » avec trois ou quatre partenaires en même temps par le biais de WhatsApp, probablement pas la façon dont les développeurs de l’application avaient imaginés que les gens utiliseraient leur service.

Les données de divorce recueillies en Italie ne sont probablement pas les mêmes dans d’autres pays, mais c’est plausible. Une enquête d’un avocat britannique a montré qu’un tiers des cas de divorce impliquait Facebook en 2011. Aussi, il est logique qu’un service de discussion instantanée utilisé par des centaines de millions d’utilisateurs soit utilisé pour flirter.

WhatsApp, une application de messagerie instantanée gratuite qui a été acheté par Facebook pour 19 milliards de dollars en 2014, compte actuellement plus de 600 millions d’utilisateurs dans le monde entier. L’application a fait parler d’elle début novembre après avoir introduit une nouvelle fonctionnalité qui indique aux utilisateurs non seulement lorsque leurs messages ont été reçus, mais aussi quand ils ont été lus.

Source photo : marketingfacts.nl

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