Actuellement, la véritable incidence des ondes électromagnétiques sur l’humain n’est pas encore complètement connue. Pour l’instant, le consensus scientifique tend à démontrer que les effets sont limités. Cependant, l’Agence nationale de sécurité sanitaire préconise tout de même de se tourner vers des smartphones à émission réduite.
Des tests de fréquence régulièrement faits
L’agence nationale des fréquences (ANFR) a pour mission de contrôler régulièrement les émissions d’ondes électromagnétiques. Grâce à ses contrôles, elle a put dégager une liste de téléphones épinglés par l’association 60 millions de consommateurs.
L’an dernier donc, l’Agence nationale de sécurité sanitaire préconisait de se tourner vers les appareils « affichant les débits d’absorption spécifique (DAS) les plus faibles ». L’organisme préconise ainsi d’opter pour un smartphone dont le DAS ne dépasse pas 2 W/kg pour une utilisation près de la tête et 4 W/kg pour une utilisation près d’un bras ou d’une jambe (si l’appareil est dans la poche par exemple).
La liste des téléphones à éviter
Les appareils concernés dépassent les mesures conseillers par l’Agence nationale de sécurité sanitaire. Pour correspondre ces limites, plusieurs smartphones ont été mis à jour. D’autres ont été rappelés et certains sont même aujourd’hui interdits de vente.
Les téléphones mis à jour : Access 50 d’Archos, Pixi 4 d’Alcatel, F23 de Hisense, Nokia 6.1 (TA-1043) de Nokia/HMD, Nokia 3 (TA-1032DS) de Nokia/HMD, Nokia 5 de Nokia/HMD, Star Plus d’Echo, Redmi Note 5 de Xiaomi, Honor 8 de Huawei, M Bot 60 de Logicom, Tommy 2 Bouygues Telecom de Wiko, View de Wiko, Mi Mix 2S de Xiaomi
Les téléphones rappelés : le Hapi 30 d’Orange et le X1 TP902 de Neffos.
Les téléphones interdits de vente : le S8 de Leagoo et le X4 Soul Mini S d’Allview
Si vous possédez l’un de ces smartphones, nous vous conseillons de vous renseigner sur le site officiel du constructeur.